Dernièrement, un juge en Espagne a interdit le service, qui met en contact sur internet usagers et chauffeurs, estimant qu’il s’agissait de concurrence déloyale. De son côté New Delhi a interdit à toutes les sociétés de voiturage utilisant une application mobile d’opérer dans la capitale indienne, après la mise en cause d’un chauffeur d’Uber pour viol.
La Thaïlande a jugé Uber illégal, et des obstacles réglementaires se sont dressés en Allemagne, aux Pays-Bas, à San Francisco, en Scandinavie et en Belgique. En France, le gouvernement a engagé une épreuve de force avec Uber mi-décembre, en annonçant sa volonté d’interdire l’offre UberPOP à compter du 1er janvier.